"Entre le 21 octobre et le 12 novembre, le Maroc a cherché l’assistance des Nations Unies pour mettre fin à ce blocage" qui faisait fi des résolutions du Conseil de sécurité (2414 et 2440 notamment), a relevé Me Radojev dans une déclaration à la MAP.
Malgré les bons offices de l’Organisation des Nations Unies, le "polisario" a refusé de lever le blocus et de mettre un terme à son "incursion illégale", a tenu à souligner l’avocat australien.
Il a en outre fait observer que l’intervention "pacifique" des Forces armées royales, menée sous le leadership "décisive" de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a permis de rétablir le trafic civil et commercial au niveau de ce passage-frontière.
Cette opération a été largement saluée par la majorité des pays membres de l'ONU, notamment au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie, a ajouté cet expert en droit des affaires et en droit pénal.