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    Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a procédé, mardi à la ville de Tamesna, à l'inauguration de la Cité des Métiers et des Comp ...
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    • SM le Roi adresse un message aux participants à la 1ère édition de la Journée nationale de l'industrie (Texte intégral)
      29 mars 2023
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    06 novembre 2022
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ACTUALITÉS
  • Sport : Coupe arabe de futsal: Le Maroc s'impose face aux Comores (5-0)
    /fr/actualites/sport/coupe-arabe-de-futsal-le-maroc-simpose-face-aux-comores-5-0

    Idriss Raiss El Fenni, auteur d’un doublé, Youssef Jouad, Hamza Ouizzane et Othmane Boumezou ont inscrit les réalisations du Maroc.

    Lors de la deuxième journée (Groupe B), les Nationaux affronteront le Liban, vendredi prochain, avant de boucler le premier tour face au Koweït, le dimanche (11 juin).

    La 7-ème édition de la Coupe arabe de futsal, organisée par l'Union arabe de football et accueillie par la Fédération saoudienne jusqu'au 16 juin, réunit les sélections nationales d'Arabie saoudite, du Maroc, d'Égypte, de Libye, d'Irak, du Koweït, du Liban, d'Algérie, de Palestine, de Mauritanie, des Comores et du Tadjikistan.

    Mercredi, 7 juin, 2023 - 17:55  
  • Culture : SIEL-2023 : Plus de 75.000 visiteurs en cinq jours (ministère)
    /fr/actualites/culture/siel-2023-plus-de-75000-visiteurs-en-cinq-jours-minist%C3%A8re

    Durant ses cinq premiers jours (2-6 juin), le Salon, placé sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, a attiré 75.858 visiteurs, soit une hausse de 4 % par rapport à la même période de l'édition précédente, a précisé le ministère, faisant savoir que le nombre de visiteurs comptabilisés lors de la seule journée de mardi a atteint 13.846.

    Organisé par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication en partenariat avec la Wilaya de la région de Rabat-Salé-Kénitra et le Conseil de la région Rabat-Salé-Kénitra, le SIEL-2023, qui se poursuit jusqu'au 11 juin, est marqué par la participation de 661 écrivains, intellectuels et poètes marocains et étrangers qui illumineront avec leurs contributions intellectuelles le ciel de ce Salon international de renom.

    Mercredi, 7 juin, 2023 - 17:50  
  • Monde : Où va la France de Macron ? s'interroge le journal suisse '’Le Temps’’
    /fr/actualites/monde/o%C3%B9-va-la-france-de-macron-sinterroge-le-journal-suisse-%E2%80%99le-temps%E2%80%99%E2%80%99

    Dans une tribune, signée par le politologue français Jean-François Bayart, Macron, qui ‘’vit dans une réalité parallèle et joue avec le feu’’, est décrit comme "le dernier avatar en date de ce que l’historien Pierre Serna nomme le ‘poison français’ : la propension au réformisme étatique et anti-démocratique par la voie de l’exercice caméral et centralisé du pouvoir".

    La crise en France est bel est bien politique, d’après le politologue et professeur à l’Institut des hautes études internationales et du développement (IHEID) de Genève, qui relève qu’Emmanuel Macron se réclame de l’’’extrême centre’’.

    Or, le conflit des retraites est “le symptôme de l’épuisement de ce gouvernement de l’extrême centre”, constate M. Bayart, notant que Macron “n’a jamais rien eu de nouveau”, et que sa posture d’homme ‘’providentiel’’ est “une figure éculée du répertoire bonapartiste”.

    Et d’ajouter que le Président français “n’imagine pas autre chose que le modèle néolibéral dont il est le pur produit, quitte à le combiner avec une conception ringarde du roman national”.

    +Caprices d’un Président qui méprise la Loi et les réalités internationales+.

    “Son exercice du pouvoir est celui d’un enfant immature, narcissique, arrogant, sourd à autrui, plutôt incompétent, notamment sur le plan diplomatique, dont les caprices ont force de loi au mépris de la Loi ou des réalités internationales”, poursuit l’auteur.

    “Ce pourrait être drôle si ce n’était pas dangereux”, écrit-il, indiquant que l’interdiction de l’’’usage de dispositifs sonores portatifs’’ pour éviter les casserolades des opposants, le bouclage policier des lieux où se rend le chef de l’Etat, le lancement de campagnes de rectification idéologique contre le ‘’wokisme’’, la ‘’théorie du genre’’, l’’’islamo-gauchisme’’, l’’’écoterrorisme’’ ou l’’’ultra-gauche’’ sont autant de petits indices, parmi beaucoup d’autres, qui montrent que la France “est bel et bien en train de rejoindre le camp des démocraties illibérales”.

    Approfondissant son analyse, M. Bayart souligne que Macron a cru ‘’astucieux’’ de détruire ‘’en même temps’’ la gauche et la droite pour s’installer dans le confort d’un face-à-face avec Marine Le Pen.

    Cependant, il n’a été élu et réélu que grâce au concours des voix de la gauche, soucieuse de conjurer la victoire du Rassemblement national, met-il en exergue.

    “Emmanuel Macron, ignorant de par son éducation et son itinéraire professionnel les réalités du pays profond, primo-élu à la magistrature suprême sans jamais avoir exercé le moindre mandat local ou national, a entendu faire prévaloir la combinaison schmittienne d’un ‘Etat fort’ et d’une ‘économie saine’ en promulguant ses réformes néolibérales par voie d’ordonnances, en court-circuitant les corps intermédiaire et en réduisant la France au statut de ‘start-up nation’, en la gérant comme un patron méprisant ses employés”, analyse l’auteur.

    Le résultat ne se fit pas attendre, selon M. Bayart, notant qu’au moment où Macron disait vouloir apaiser la France, il provoqua le plus grave mouvement social depuis Mai 68, celui des Gilets jaunes dont le spectre “continue de hanter la Macronie”.

     

    +Un Président enfermé dans le déni et le sarcasme+.

    Le président aggravera la situation en imposant une réforme financière de la retraite "en dépit de l’opposition persistante de l’opinion et de l’ensemble des forces syndicales, non sans faire fi de leurs contre-propositions”, ajoute-t-il.

    Face au nouveau mouvement social massif qui s’est ensuivi, Emmanuel Macron s’est enfermé dans le déni et le sarcasme, commente le politologue, notant que comme en 2018, le chef de l’Etat “répond à la colère populaire par la violence policière”.

    “Face à ces accusations, Emmanuel Macron s’enfonce dans une réalité parallèle et radicalise son discours politique”, constate encore M. Bayart. “Il voit la main de l’’ultragauche’ dans la contestation de sa réforme. Il justifie les violences policières par la nécessité de lutter contre celles de certains manifestants”.

    “Ce n’est pas être un black bloc que de dénoncer les excès structurels de la police. Ce n’est pas être un gauchiste que de diagnostiquer la surexploitation croissante des travailleurs au fil de la précarisation des emplois et au nom de logiques financières”, recadre le politologue, qui affirme que la Macronie “n’a plus d’autre réponse que la criminalisation des protestations”.

    “Dans cette fuite en avant, un pas décisif a été franchi lorsque le gouvernement s’en est pris à la Ligue des droits de l’homme. Ce faisant, la Macronie s’est de son propre chef placée en dehors de l’arc républicain’’, estime M. Bayart, rappelant que cette association est indissociable de l’idée républicaine et que “seul le régime de Pétain avait osé l’attaquer”.

    Mercredi, 7 juin, 2023 - 17:48  
  • Economie : Le Maroc appelle à Genève au renforcement du dialogue social pour relever les défis des nouvelles économies
    /fr/actualites/economie/le-maroc-appelle-%C3%A0-gen%C3%A8ve-au-renforcement-du-dialogue-social-pour-relever-les

    À l'occasion de la conférence ministérielle du Mouvement des pays non alignés, qui se tient en marge de la 111e session de la Conférence internationale du Travail, le ministre de l'inclusion économique, de la petite entreprise, de l'emploi et des compétences, Youness Sekkouri, a souligné le plein soutien du Royaume aux conclusions de la réunion du groupe, notamment en ce qui concerne "le rôle que doit jouer le dialogue social en tant qu'espace pour aborder les nouveaux défis résultant de la numérisation, de l'intelligence artificielle et des nouveaux modes économiques".

    Le groupe doit disposer de cadres de travail clairs dans le domaine de l'emploi et de l'intégration sociale, a estimé M. Sekkouri, tout en insistant sur la nécessité de soutenir les efforts de l'Organisation internationale du Travail (OIT), afin de fournir un emploi décent aux jeunes, aux femmes et aux groupes vulnérables qui ont souffert des conséquences de la crise du Covid-19.

    Le Maroc aspire à ce que les objectifs de développement des Nations Unies prennent leur ampleur dans le cadre d'une action collective, a-t-il ajouté, appelant à renforcer les critères de justice géographique au sein de l'Organisation et à réaliser un meilleur équilibre dans la contribution des pays des différents continents.

    Par ailleurs, il a mis en lumière l'expérience marocaine dans l'établissement d'un dialogue social qui a abouti à un accord historique l'année dernière avec les syndicats les plus représentatifs et les représentants des employeurs, réalisant ainsi une avancée qualitative dans le domaine social, malgré les répercussions des conditions économiques difficiles et des crises géopolitiques.

    Le Royaume a mis en place plusieurs stratégies sectorielles visant à fournir un travail décent via une forte dynamique d'investissement, dans le cadre des chantiers menés sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a expliqué M. Sekkouri.

    S'agissant du volet de la justice sociale, le ministre a plaidé, au nom du Maroc, en faveur d'un système résilient de protection sociale, soulignant que le Royaume s'efforce, grâce à un chantier Royal d'envergure, à fournir une couverture sociale à tous ses citoyens.

    L'année dernière, plus de 11 millions de personnes ont rejoint la liste des bénéficiaires de ce système, a-t-il détaillé, faisant part de la disposition du Maroc à partager son expérience dans le domaine de l'établissement du dialogue social, de la généralisation de la protection sociale et de la médiation sur le marché du travail, ainsi que de la mise en œuvre des réformes essentielles, notamment celle de la formation professionnelle.

    Les travaux de la 111ème session de la Conférence internationale du Travail, qui se poursuivent jusqu'au 16 juin, ont débuté lundi avec la participation d'une importante délégation marocaine. Il s'agit de l'organe délibérant et décisionnel suprême de l'OIT.

    Les délégués des travailleurs, des employeurs et des gouvernements des 187 États membres de l'organisation abordent un large éventail de questions, notamment une transition ''juste'' vers des économies durables et inclusives, des apprentissages de qualité et la protection des travailleurs.

    Mercredi, 7 juin, 2023 - 15:53  
  • Politique : M. Bourita s'entretient à Rabat avec le Conseiller à la Sécurité nationale d'Israël
    /fr/actualites/politique/m-bourita-sentretient-%C3%A0-rabat-avec-le-conseiller-%C3%A0-la-s%C3%A9curit%C3%A9-nationale

    Au cours de ces entretiens, les deux parties ont passé en revue une série de questions bilatérales et régionales d’intérêt commun.

    MM. Bourita et Hanegbi se sont également félicités de la dynamique soutenue de renforcement de la coopération entre le Royaume et Israël dans tous les domaines, notamment sécuritaire.

    Mercredi, 7 juin, 2023 - 15:47  
  • Général : Nairobi: les efforts du Maroc en matière d'habitat et d'urbanisme salués par ONU-Habitat
    /fr/actualites/g%C3%A9n%C3%A9ral/nairobi-les-efforts-du-maroc-en-mati%C3%A8re-dhabitat-et-durbanisme-salu%C3%A9s-par-onu

    Lors d'un entretien avec le Secrétaire général du ministère de l’Aménagement du territoire national, de l’urbanisme, de l’habitat et de la politique de la ville - Département de l’Habitat et de la politique de la ville, Youssef Hosni, qui préside la délégation marocaine à la 2ème Session de l'Assemblée d'ONU-Habitat (5-9 juin), le Directeur exécutif adjoint d'ONU-Habitat, Michal Mlynar, a salué les efforts du Royaume visant à promouvoir le développement durable des établissements humains sur les plans social et environnemental et garantir l'accès à un logement décent pour tous.

    Lors de cette rencontre, Michal Mlynar a également réitéré la disponibilité d'ONU-Habitat à apporter son appui au Royaume dans le cadre de la mise en oeuvre de ses politiques et programmes dans le domaine de l'habitat et l'urbanisme.

    Le responsable onusien a également mis l'accent sur la dynamique de coopération qui anime les actions du Maroc au sein du Conseil exécutif d'ONU-Habitat, ce qui lui a valu d'être reconduit à l'unanimité au sein de ce Conseil pour un deuxième mandat de deux années.

    Dans ce sens il a souligné que le Maroc est "un modèle en matière de coopération dans le domaine de l'habitat et l'urbanisme".

    De son côté, M. Hosni a passé en revue le programme de coopération Maroc-ONU-Habitat, qui sera reconduit jusqu'en 2025, notant que ce programme définit les actions concrètes que le ministère entreprend, en conformité avec les actions et la stratégie d’ONU-Habitat.

    M. Hosni a également souligné les efforts du Maroc en matière de résorption du déficit en logement (70% depuis 2002) et de lutte contre les bidonvilles, relevant que le Royaume est sur la bonne voie pour éradiquer ce fléau, après que 60 villes marocaines ont été déclarées sans bidonvilles.

    Le Secrétaire général a aussi mis en avant les actions du ministère en matière de rénovation des outils de planification urbaine en y intégrant les indicateurs de Développement durable.

    A noter que lors de la plénière tenue lundi, le Maroc a été reconduit en tant que membre du Conseil exécutif d'ONU-Habitat pour un deuxième mandat de deux ans, après avoir siégé au sein de cette instance depuis son élection en 2019.

    La délégation marocaine prenant part à cette 2ème Session d'ONU-Habitat est composée notamment du Secrétaire général du Conseil national de l’Habitat Mohamed Hardouza, de la directrice de l'Urbanisme Badria Benjelloun, de la directrice de la Promotion immobilière Hind Benzha et de la directrice de la Communication de la Coopération et des Systèmes d'information Badiaa Gueroui.

    Elle comprend également la cheffe de service au sein du Département de l'Habitat Amal Lamssitef, le directeur de l’Agence urbaine d’Agadir Amine Belkacemi, ainsi que le chef de la division du Système des Nations Unies pour le développement au sein du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger Anas Alami Hamedane.

    Le Maroc est fortement actif lors des travaux de cette assemblée, à travers notamment la participation à la session plénière et aux différents événements parallèles, ainsi qu'à travers l'organisation d'un side-event axé sur l'expérience marocaine en matière de logement social.

    Tenue sous le thème "Un avenir urbain durable grâce à un multilatéralisme inclusif et efficace : atteindre les ODD en temps de crise mondiale", cette session réunit près de 5.000 participants, dont plus de 30 ministres, en plus de hauts responsables et experts mondiaux, pour débattre des politiques urbaines mondiales et promouvoir un multilatéralisme inclusif et transformateur.

    Mercredi, 7 juin, 2023 - 15:24  
  • Monde : Libye: la commission "6+6" annonce à Bouznika un compromis sur les lois électorales
    /fr/actualites/monde/libye-la-commission-66-annonce-%C3%A0-bouznika-un-compromis-sur-les-lois-%C3%A9lectorales

    L’accord définitif au sujet de ces lois sera débattu dans les prochains jours en présence des présidents de la Chambre des représentants et du conseil d’État libyens, a indiqué Jalal Shwehdi, membre de la Chambre des représentants, lors de la séance de clôture des travaux de la commission 6+6, à laquelle ont pris part, Omar Abu Lifa, membre du Haut conseil d’État et Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger.

    M. Shwehdi a hautement salué le rôle joué par le Royaume du Maroc pour la réussite de ce dialogue et pour parvenir à des compromis sur les lois électorales précitées, assurant que la commission n’a subi aucune pression de l’étranger.

    Pour sa part, M. Abu Lifa a affirmé que les membres de la commission sont parvenus à un compromis sur l’ensemble des points de divergence relatifs aux lois électorales, précisant que deux lois ont été élaborées, dont la première concerne l’élection du parlement (Chambre des représentants et Sénat), alors que le deuxième texte porte sur l’élection du chef de l’État.

    Il ne reste que la publication officielle des lois par la Chambre des représentants telle que stipulée par l’amendement 13 de la déclaration constitutionnelle pour entamer le processus électoral, a-t-il fait savoir.

    Les points en suspens ont fait l’objet d’un compromis sans aucune ingérence étrangère, a-t-il précisé, expliquant que ces lois n’interdisent à aucune personne de participer au processus électoral et ne prévoient pas d’exclusion, de même qu’elles offrent l’opportunité aux partis politiques de jouer un rôle fondamental dans le processus électoral.

    Les deux lois appuient une participation agissante de la femme dans la Chambre des représentants et le Sénat et élargissent la représentativité régionale du pays, puisque toutes les zones reculées et les villages sont représentés au parlement.

    M. Abu Lifa a, en outre, exprimé sa reconnaissance et sa gratitude au Maroc qui a fortement appuyé la mission de la commission, relevant que les "efforts réussis" du Royaume ont largement favorisé l'accomplissement de cette mission.

    Le Royaume du Maroc poursuit ses efforts en vue de trouver une solution définitive à la crise libyenne de sorte à garantir l’unité, la stabilité et le progrès de la Libye, en soutenant ses actions visant à organiser des élections dans un cadre global, inclusif et pragmatique.

    La réunion de Bouznika s’inscrit dans le prolongement de la série de rencontres qu’abrite le Royaume, réunissant les différentes parties libyennes en vue d’approfondir le dialogue sur les voies et moyens à même de mener au règlement de la crise dans ce pays, suivant une approche qui fournit l’espace idoine pour le dialogue et la concertation constructive.

    Ces réunions avaient donné lieu à d’importants accords favorables au processus de règlement, à leur tête l’accord de Skhirat (2015), l’accord entre le président de la Chambre des représentants, Akila Saleh, et le président du Haut Conseil d’État libyen, Khalid El Machri en octobre 2022 sur la mise en œuvre des résultats du processus de Bouznika concernant les postes de souveraineté et l’unification du pouvoir exécutif.

    Le Maroc considère que le règlement de la question de la légitimité en Libye ne peut avoir lieu qu’à travers des élections présidentielle et législatives qui permettront au peuple libyen de choisir à qui confier le pouvoir de la gouvernance politique dans le pays.

    Mercredi, 7 juin, 2023 - 14:11  
  • Monde : Sous Macron, l'affaiblissement constant des institutions de médiation interroge sur l'exercice du pouvoir (Papier d’angle)
    Maria Mouatadid
    /fr/actualites/monde/sous-macron-laffaiblissement-constant-des-institutions-de-m%C3%A9diation-interroge-sur

    Les propos du président Macron devant les parlementaires de la majorité, reçus à l'Élysée en mars dernier, en affirmant que "la foule" de manifestants opposés à cette réforme n'avait "pas de légitimité" face "au peuple qui s'exprime à travers ses élus", lui ont valu des critiques acerbes aussi bien de la gauche, que de la droite et de certains de ses alliés politiques.

    Rarement, dans l’histoire de la Vème république, que toutes les couleurs du paysage politique français se mettent d’accord pour rejeter cette manière de concevoir la pratique du pouvoir.

    +Mépris des institutions de médiation sociale+.

    Les commentateurs voient, en effet, dans ces déclarations un président "convaincu d’être le seul détenteur de la légitimité politique" et qui ne cache plus son "mépris" à l’égard des corps intermédiaires institutionnels et de médiation sociale.

    En poursuivant l’affaiblissement de ces institutions et en forçant le passage à l’Assemblée nationale sur la réforme des retraites et bien d’autres textes, le chef de l’Etat, dans sa pratique du pouvoir en "solitaire" selon la Ligue française des droits de l’homme, a provoqué un blocage sans précédent de l’agenda politique et une crise démocratique profonde, touchant à la fois le fonctionnement réel des institutions de la République, le dialogue social et la confiance des citoyens.

    Il en résulte ainsi, selon les organisations de défense des droits de l’homme, un recul notoire des libertés publiques, notamment avec une augmentation des interdictions du droit à manifester et une recrudescence de la violence, devenue une manière de s’exprimer en l’absence de dialogue entre l’exécutif et les différents corps intermédiaires. Situation fortement critiquée par la classe politique, médias et intellectuels.

    Il faut se rendre à l’évidence qu’entre l'Élysée et la société civile, les médiations se font rares. "Le pouvoir semble s'exercer de haut en bas, et la violence, ici et là, se substitue au sens et au contenu", estime, à cet égard, le sociologue Michel Wieviorka, pour qui les mobilisations sociales, hier avec les "gilets jaunes", aujourd'hui sur les retraites et sur la question de l'eau et des méga bassines, "sont de plus en plus débattues sous l'angle des affrontements entre forces de l'ordre et acteurs contestataires".

    Dans un paysage fragmenté, avec une population inquiète du fait de l'inflation, épuisée après la crise sanitaire, "l'archipel France peine à fonctionner et les médiations déclinent", soutient-il dans un décryptage publié dans La Tribune.

    "Le chef de l'État, dès 2017, s'est engagé sur une pente claire : le pouvoir est considéré comme s'exerçant de haut en bas, et très peu de médiations semblent trouver grâce à ses yeux", renchérit-il, rappelant qu’à plusieurs reprises, notamment durant la crise liée à la pandémie, il a décidé de subordonner les pouvoirs judiciaire et législatif à l'exécutif pour mener la "guerre" au Covid-19. "Dans la lutte contre le terrorisme, il s'est également employé à décréter des mesures d'exception, alors que sur le social, il ne prend pas forcément en compte les syndicats, y compris réformistes comme la CFDT - une attitude qui est une constante et ne date pas uniquement du débat sur la réforme des retraites".

    +Crise d’impuissance du Président Macron+.

    Cette propension à annuler les médiations est perceptible dans de nombreux domaines : suppression du corps diplomatique ; désinvolture vis-à-vis des élus locaux ou régionaux ; dynamitage de la gauche, puis de la droite classique, énumère le sociologue.

    Le juriste Benjamin Morel estime, de son côté, qu’une partie des Français "a l'impression que la démocratie leur a été confisquée", faisant valoir que le souci est qu'aujourd'hui, Emmanuel Macron souffre paradoxalement d'une "crise d'impuissance", d’autant que les grands sujets économiques, qui minent la nation, semblent assez peu solubles pour lui, faute de sortir des grands paradigmes économiques dominants.

    De son côté, Pascal Ory, historien et membre de l’Académie française, qualifie Emmanuel Macron de "président jupitérien, très préoccupé d'abaisser les corps intermédiaires".

    Sur la réforme des retraites, la France, par ''le caractère structurellement autoritaire de sa culture politique'', continue à détonner de ses voisins où prédominent ''les figures du compromis'', affirme l’académicien, également professeur émérite à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne, dans une tribune au Monde.

    A ses yeux, la France “continue à trancher sur ses voisins par le caractère structurellement autoritaire de sa culture politique : centralisée et présidentielle, unitaire et bipolarisée”.

    Mercredi, 7 juin, 2023 - 14:02  
  • Monde : Macron, un "hyperprésident" qui concentre l'essentiel de la décision au détriment de l’exécutif (Libération)
    /fr/actualites/monde/macron-un-hyperpr%C3%A9sident-qui-concentre-lessentiel-de-la-d%C3%A9cision-au-d%C3%A9triment-de-l

    Cela laisse entrevoir un régime “de plus en plus concentré et autoritaire”, loin de sa promesse de rénover les institutions, souligne le journal, dans un billet publié sur son site Internet.

    “On peut déjà acter qu’à la fin du second mandat d’Emmanuel Macron, élu en 2017 sur une promesse de renouvellement du personnel politique et de réenchantement de notre vie démocratique, la Ve République apparaîtra plus que jamais à bout de souffle”, soutient-on.

    La démocratie sociale, déjà en “mauvais état”, a elle aussi régressé depuis 2017, estime la publication, pointant “l’aversion quelque peu populiste” du chef de l’État à l’égard des corps intermédiaires quels qu’ils soient. “On ne pensait pas que le locataire de l’Élysée ferait autant de dégâts”, renchérit l’auteur du billet.

    Et de faire valoir que les différentes crises - sociales comme sanitaires - que la France a traversées ces dernières années ont donné à voir une verticalisation extrême du pouvoir et de “notables reculs” en matière de libertés publiques, avec le recours par l’exécutif à des dispositions d’exception qui lui ont été profitables et ont été, in fine, transposées dans le droit courant.

    '’La doctrine de maintien de l’ordre a aussi, bien souvent, posé question. Quand ce ne fut pas tout bonnement la restriction du droit de manifester qu’en plusieurs circonstances des juridictions administratives ont dû défendre’’, observe-t-on, estimant qu’il s’agit d’un “cocktail explosif” auquel il faut ajouter la crise inflationniste, qui précarise encore un peu plus les plus pauvres et pèse aussi sur le pouvoir de vivre des classes moyennes.

    “Le pays souffre, gronde et le pouvoir semble à côté de la plaque quand il ne fait pas concrètement la sourde oreille”, relève-t-on, observant que dans le dossier des retraites, il “travestit son jusqu’au-boutisme en ‘’courage’’ et ses passages en force en ‘’défense de la démocratie’’.

    Et de poursuivre que ces épisodes sont de mauvais “coups portés” à la démocratie représentative française, estimant qu’au-delà même de la droitisation de sa proposition politique, cela “dessine non pas la bascule dans une ‘dictature’, cela va sans dire, mais l’instauration d’un régime de plus en plus concentré et autoritaire”.

    Aux yeux de l’auteur, il s’agit d’une “pratique rabougrie” et d’’’une démocratie de faible intensité’’, une “cocotte-minute”.

    ‘’Quelques Conventions citoyennes aux conclusions plus ou moins respectées ou des Conseils nationaux de la refondation qui ne refondent pas grand-chose ne paraissent pas de nature à équilibrer le bilan. Emmanuel Macron n’en a clairement pas la volonté, quoi qu’il en coûte sur le plan démocratique’’, conclut-on.

    Mercredi, 7 juin, 2023 - 13:54  
  • Culture : L'ISADAC participe à la Quadriennale de Prague de scénographie du 08 au 18 juin
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    L'ISADAC sera présent à cet évènement, fruit d'un soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication en partenariat avec l'Association "Corp'Scène", à travers un stand conçu par ses étudiants de la branche de scénographie, indique un communiqué de l'ISADAC.

    L'Institut sera représenté à cette session par une délégation dirigée par sa directrice Latifa Ahrar, ajoute la même source, précisant que les étudiants de l'ISADAC ont choisi de travailler sur le patrimoine architectural marocain "Igoudar", considéré comme l'un des plus anciens modèles traditionnels d'entrepôts collectifs au monde.

    Inspiré de l'architecture d'"Igoudar", le stand marocain est conçu selon une scénographie mettant en relief des photographies rares et des objets créatifs des étudiants.

    Mercredi, 7 juin, 2023 - 13:36  
Mercredi 07 juin 2023 | 18:03

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SM le Roi, Amir Al Mouminine, se recueille sur la tombe de Feu SM le Roi Mohammed V

01 avril 2023 Version Imprimable
Rabat - Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al-Mouminine, que Dieu L'assiste, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, de SAR le Prince Moulay Rachid, de SA le Prince Moulay Ahmed et de SA le Prince Moulay Ismail, S'est recueilli samedi sur la tombe de Feu SM le Roi Mohammed V, à l'occasion de la commémoration de l'anniversaire de la disparition du Père de la Nation, que Dieu l'entoure de Son infinie miséricorde, qui coïncide avec le 10ème jour du mois sacré du Ramadan.

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Dernière modification : 01 avril 2023

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